Visite de Courtoisie [Anthony]

Un nouveau paysage, une nouvelle vie commençait très différente du Canada, une ère de pur criminalité allait s’annoncer avec l’arrivé du jeune Lorenzo Andolini dans cette jungle urbaine. Une heure à peine son arrivé, Lorenzo avait déjà un associer au nom de Vito Castellano, un jeune homme venant de milan et qui n’arrivait pas à faire ça place dans la mafia, Lorenzo avait entendu parler d’un Cotroni était en ville, un Cotroni dans la ville ? Une occasion de pouvoir faire retravailler ensemble mais nul pour lui. Le jeune sicilien s’avançait dans la ville avec son cher associer pour aller à la rencontre de Cotroni, grâce à un Italien, il su où se situait Cotroni c’était au Casino bien sûr un parrain se devait d’avoir un endroit qui rapporte bien et une bonne couverture.

Il arriva enfin au Casino, un vrai palace avec de nombreuses machines chromé or, des gardes habiller en noir positionné à des places très stratégiques où que les caméras ne peuvent pas capter, une bande de garde fessait sa ronde pour se rassurer que tout allait bien, ne fessant nul guère à la présence de Lorenzo pensant que c’était un joueur parmi tant d’autres celui-ci s’avança avec le jeune Vito, une grande pour semblait contenir de nombreux secrets et ceux des Cotroni. Lorenzo s’avança mais un garde lui bloqua l’entré en l’agrippant par le gilet, Lorenzo lui lança une claque en plein visage, il ne semblait pas ravis mais Lorenzo ne se laissa pas impressionné par sa carrure. Il exigea de voir Cotroni mais celui-ci refusa, Lorenzo lui fit savoir qu’il travaillait pour Cotroni ceci n’était qu’un subterfuge inventé de toute pièce par Lorenzo le garde le laissa passé et indiqua la salle à Lorenzo celui-ci et Vito rentraient enfin dans la salle de Cotroni celui-ci se tenait assis sur une chaise luxueuse qui donnait la vu sur tout l’intérieur du Casino

Anthony Cotroni se fit avertir par l'un des ces nombreux gardes du corps qu'un homme avait rentré dans le casino et demander de le voir. Cela était très rare ou c'étais les policiers qui voulaient le voir. Anthony Cotroni évita le regards de l'homme en rentrant dans la salle, les gardes du corps de Anthony Cotroni fouilla le jeune homme. Anthony Cotroni après quelques secondes se fient chuchotés dans le plus creux de son oreille:

-Il dit qu'il travaille pour nous.

Anthony Cotroni le regarda quelques secondes et il commenca à poser des questions.

Que puis-je faire pour toi?

Pour l’instant vous ne pouvez rien pour moi … Mais très bientôt j’aimerais être associé à vôtre famille …

Lorenzo garda son nom en anonymat pour l’instant, car il allait bientôt devenir un parrain il serait qui il sera à la tête d’un grand empire. Lorenzo n’attendit pas et s’assis c’était un peut-être un manque de politesse mais c’était déjà un très grand connu chez cette famille bah surtout au Canada, Vito restait derrière lui pour surveiller au cas où tout tournerait mal mais une faible chance pourrait y arrivé enfin bref Lorenzo continua

Vous savez que moi et mon père avons déjà travailler pour vôtre famille … À cette époque c’était Vincent Cotroni qui était au pouvoir… Je ne sais pas si vous souvenez de nous … Andolini.

Lorenzo laissa quelque minutes au Don de réfléchir il voulait seulement qu’il est une vif pensé des Andolini qui avait travaillé comme des dingues pour eux et pourrait peut-être récompenser par l’association des deux parrains

Dsl du court rp

Dès que Anthony entendit le nom des Andolini, il rit un peu avant de répondre avec un ton autoritaire. Il se rappela d'un Andolini en particulier, mais ce n'était qu'un vague petit souvenir dans sa tête. Anthony posa son épaule sur la table avant de recommencer de parler doucement.

-Je suis très fier de vous revoir dans le coin. On a passé du bon temps au Canada, surtout pour moi. Je voudrais si tu viens seulement de rentrer au États-Unis, un bievennue.

Anthony lui donna un gros cigar cubain et il commenca à parler.

-Nous sommes beaucoup dans ce coin, surtout des italio-canadiens et des italio-américains dans la Petite Italie, je ne veux pas de trouble, il a beaucoup d'enfant et je ne veux pas surtout que notre belle petite ville de la petite italie se transforme en compton de Los Angeles. J'espère que tu es d'accord avec moi. Je ne veux pas que mes enfants voient de la violence, alors soyons très discret dans nos marché.

Anthony reprit son souffle et recommença à parler.

-Je suis très confiant que tu pourrait être un excelent membre de famille, mais je voudrais savoir, que veut-tu de moi? Est-ce que tu es seulement venu me voir pour nous rémomériser des vieux souvenirs?